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Livres des membres de Zé té dessine

Michel FRUITET

Michel Fruitet est pédopsychiatre,  psychanalyste. Thérapeute d’enfants depuis trente-cinq ans, le dessin est son quotidien. Il s’inscrit dans la lignée de F. Dolto, de D.W. Winnicott, mais aussi de S. Tisseron. 

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Dans cet ouvrage l'auteur reprend le déroulement de quelques séances, où il nous livre sa façon de voir, de ressentir, d’analyser le dessin au fur et à mesure de sa construction. On assiste aux effets de ses interprétations sur le dessin. Son analyse du dessin ne se limite pas aux dires de l’enfant. Il propose une nouvelle façon de le regarder, en repérant dans la structure du dessin ce qu’il nomme les « formes énigmatiques ». Véritable signifiant archaïque qui permet de repérer comment le dessin, dans une relation transférentielle, permet de métaphoriser et symboliser les éléments traumatiques de l’histoire de l’enfant, et de sa famille, avec leurs effets thérapeutiques.

Disponible en ligne ici

Marie-Laure ROMAN

Marie-Laure Roman est Docteur en psychologie clinique et psychanalyste. Elle a été chargée de cours à l'université Paul Valéry à Montpellier et à la faculté Vauban à Nîmes. Elle a co-dirigé un groupe de formation au psychodrame avec le professeur Bruère-Dawson. 

Selon les principes de la cure psychanalytique chaque participant propose une mise en scène, à partir du récit d'un rêve, d'une réminiscence ou d'un fragment de vie. Cette mise en scène est théâtralisée. Il appartient à l'analyste, en tant que garant de la loi et des règles, de ponctuer le discours et de mettre l'accent sur le fil symbolique qui, au travers des signifiants énoncés, a prévalu lors de la séance. Cette méthode thérapeutique est reprise dans ses fondements théoriques et illustrée, dans cet ouvrage, par de nombreuses vignettes cliniques. Participe-t-elle d'une variante de la cure ? C'est cette question qui est posée en filigrane tout au long de cet écrit.

Disponible en ligne ici

Marie DESSONS

Psychologue clinicienne, psychanalyste, maître de conférences en psychologie
clinique à l’Université Paul Valéry –Montpellier 3, Laboratoire Epsylon EA 4556.

La cicatrice désigne la trace laissée par une blessure aussi bien physique que morale. Quelle trace laissent les psychoses quand elles se sont retirées, sinon de la vie psychique, au moins de ses manifestations les plus bruyantes ?

Quelle trace psychique, mais aussi bien corporelle, s’il est vrai qu’il n’est rien de tel que la psychose, ce «langage d’organe », pour rendre nulle et non avenue la division de l’âme et du corps ?

« Le moi est avant tout corporel » (Freud), chacun de nous en « sait » quelque chose, mais les psychotiques plus violemment que
d’autres en conservent la mémoire. La cicatrice signe la guérison en même temps qu’elle exhibe le témoignage d’un temps dont il serait imprudent de dire qu’il est révolu. Les cicatrices de la psychose ne concernent-elles que l’ancien psychotique ? Ou les relations que le commun des mortels entretient avec l’« inquiétante étrangeté » de la réalité psychique font-elles de la « folie » la chose du monde la mieux partagée ? Des psychanalystes interrogent à partir de leur pratique la démesure et l’énigme de la psychose.
Sommaire
Présentation
Jacques André, « L’oreille coupée »
Claude Barazer, « Le moi balafré »
Marie Dessons, « Autopsie d’une momie »
Estelle Louët, « J’ai le sentiment que la psychose est cicatrisée... »
Maurizio Balsamo, « Délire et reconstruction d’archive »
Fanny Dargent, « Détruire, remplacer »
Françoise Neau, « Une femme mariée »

Comprendre la psychopathologie de l’enfant nécessite de disposer d’une théorie  permettant d’appréhender le fonctionnement psychique de l’enfant, les conflits qu’il traverse et les crises qu’il surmonte.

Cet ouvrage propose donc en premier lieu une théorie du développement psychique de l’enfant selon le modèle psychanalytique du fonctionnement psychique, sur laquelle puisse se baser une psychopathologie au

plus près de la clinique. Il apporte un éclairage à la compréhension des formes primitives de la vie psychique, à travers l’étude des angoisses et des défenses archaïques, particulièrement au sein des états autistiques et psychotiques. Il étudie également les troubles névrotiques et limites
de l’enfance. Enfin, une place est faite à l’abord psychothérapeutique à travers la spécificité des psychothérapies analytiques avec les enfants.

 

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